25 janeiro 2010

Je puis perdre, mais je gagne toujours





[*] O Jogo de Marienbad (efeito lenticular)

Si on représente les différentes combinaisons de jeu, on voit qu'il existe un chemin (on parle de kernel : ensemble de nœuds) de coups gagnants. Ainsi, un joueur qui se trouve dans une situation gagnante et qui connaît l'astuce est sûr de gagner à la fin. Le joueur qui ne commence pas est dans le kernel (S pair) et est donc sûr de gagner quelles que soient les actions de l'adversaire (pourvu qu'il connaisse l'astuce, i.e., qu'il reste dans le kernel). Son adversaire n'a pas son destin entre ses mains. Ceci est vrai que le jeu soit classique (dernière allumette = perdu) ou non classique (dernière allumette = gagné).

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